« …Ici, il emprunte les trames du Pop Art, là il reprend les pochoirs et les manières du Street- Art, là encore il revisite dans un portrait les codes
de la peinture classique, là il convoque les associations opportunistes de Max Ernst, et une tache devient un petit chien hargneux.
Il réinvente et fusionne avec allégresse et jubilation tous ces modes opératoires dans une grande opération de métissage où il décline ses trouvailles jusqu’à l’épuisement des possibilités.
Et ainsi s’élabore la production d’un langage somptueux et sensible, personnel et singulier.