PATRY Sophie

​​​​​​​« Je travaille en mouvement ce qui me procure des effets directs à la prise de vue… Je me laisse guider par mon ressenti et mes émotions. Mon travail est à l’image de ma perception du monde. Des paysages, des silhouettes et des autoportraits qui oscillent entre rêve et réalité, laissant libre cours à l’imagination de chacun… mon appareil photographique devient un pinceau ». Vous pouvez retrouver mon travail à la galerie Picot-Le Roy à Paris, la galerie Murmure à Colmar, la galerie le Linteau rouge à Saint-Brieuc et la Chambre Claire à Douarnenez et je fais partie des artistes de la Fondation l’Ermitage à Garches. Depuis fin 2014, j’expose en France et à l’étranger (Allemagne, Belgique, Ile de la Réunion, Iran, Irlande, Italie, Suisse et Etats-Unis).  » Sophie Patry propose une photographie poétique, allusive et rêvée, lointaine et fragile, d’allure fantastique ou fantasmée, et d’extrême présence. Elle fouille à vif les mystères du visible « . Par le critique d’Art et conférencier Christian Noorbergen.  » Une vague impression. C’est ce qui ressort des photographies noir et blanc de Sophie Patry qui portent en elles la nostalgie d’un souvenir dont les contours s’émoussent et qu’elle fige juste avant qu’il ne disparaisse. Ces images « oscillent entre rêve et réalité » comme elle l’exprime elle-même, une sensation obtenue parce qu’elle travaille en mouvement, en déplaçant l’appareil photo qui devient un pinceau. Il reste une ombre, la trace d’un paysage, une présence fantomatique. Juste une illusion. » Texte paru dans Beaux-Arts Magazine décembre 2020 de Stéphanie Pioda (journaliste et critique d’Art)