Il travaille le verre comme un langage qui sans cesse se renouvelle au grès des lieux, des architectures, des espaces que Joseph Divin investit.
Son travail devient alors un savant mélange de proportions, de détails, d’histoire.
Ces pièces de nature plutôt minimaliste sont à voir comme autant d’environnements méditatifs quelque peu mélancoliques d’un moment…
Chaque pièce est un peu comme un fragment retrouvé d’une civilisation disparue, des objets dont on ne connait plus l’utilité.
Le verre quant à lui est sublimé par l’argent qui vient réveiller les couleurs. Le verre s’épaissit, la plasticité s’anoblit.